Quatre feux alchimiques

Les feuillages gonflent et brouillent l’au-dela du regard. En observant intensément le mouvement subtil et tres rapide de l’eau qui s’engouffre dans les pierres de la riviere, notre vision se met a onduler, la réalité oscille délicieusement, vertige sans corps, diagramme folatre de l’humeur universelle.

Les branches du chataigner balancent et miment l’adieu, le passage des lumieres du réel au conscient visuel. Le stratageme une fois découvert, tout s’agite. Curieux emportement. Naturelle réprimande? Ces acces renforce les mysteres a moins qu’ils ne les restorent. Mais ai-je de quelque maniere dérangé? Ce qui va curieux se rétracte incertain. Et pendant ce court temps de réappropriation (réencombrement), que se passe-t-il vraiment? Qu’ai-je raté? Triviale dénonciation. L’universel balaye et balise ce qu’il y a de plus humain et offre a chaque inclination de nos tempéraments les plus insondables perpectives. Ó Zéphyr, souffles sur nos branchages dormants!!.

Les impressionnistes viennent apres colin-maillard. S’entendent sur la diffusion d’un poison horizontal.

 Et nos fievres que cuisinent-elles? Elles chauffent, fondent, torsionnent, dilatent nos entendements jusqu’a la cristallisation de ce que l’on nomme normalité.